En 1919, les soeurs Navarlats, Jeanne et Claudine, souhaitent transférer le corps de leur père Dominique Navarlatz à Saint-Jean-le-Vieux. Ce dernier est mort à Lecumberry en 1890 et y avait été enterré. Les sœurs sont domiciliées à Saint-Jean-le-Vieux et leur mère Catherine Esconjaureguy y habitant depuis longtemps, y est décédée l’année précédente soit en 1918. Elles souhaiteraient n’avoir ainsi qu’une seule sépulture.