Généalogie de la maison Baztandarraenea
Sur le flanc d’une colline, à environ 640 m d’altitude, la maison Baztandarraenea d’Urepel (en prononciation locale baxtandarañia[1]) possède un nom curieux. Traduit du basque, Baztandarraenea signifie “le (demeure) du bastanais”!
Un “bastanais” est un habitant de la vallée du Bastan en Haute Navarre, vallée qui fait frontière avec plusieurs communes du Pays Basque Nord situées en France, mais ne partage qu’une toute petite frontière de 2 km avec la commune d’Urepel qui se trouve au fond de la vallée de Baïgorry. Parcourons alors la généalogie de cette maison pour comprendre comment et pourquoi elle a pu acquérir ce nom mystérieux! Peut-on réellement trouver le ou la bastanais(e) en question ?
Urepel, une colonisation tardive
Tout d’abord, il faut comprendre l’histoire d’Urepel et la colonisation tardive de son territoire[2]. Jusqu’au XVIe siècle, Urepel n’est pas siège d’une population permanente avec des maisons établies. C’est “l’essor démographique des 17e et 18e siècles [qui] pousse les cadets des fermes de Baigorri à habiter les pâturages communs des Aldudes, entraînant l’anthropisation des montagnes”[3]. Orpustan confirme en décrivant dans sa Nouvelle toponymie basque les “exploitations agricoles que des cadets de la vallée avaient défrichées à partir du XVIIe siècle comme dans tout ce fond de vallée jusqu’à Urepel”[4].
Il faudra donc attendre que les cadets de Baïgorry, délaissés par le système de primogéniture qui fut la coutume au Pays Basque, colonisent Urepel. C’est dans ce contexte que la maison étudiée prend jour, héritant initialement, comme prévu, le nom d’une maison de Baïgorry plutôt que le nom Baztandarraenea moderne.
C’est dans ce milieu, aux alentours de 1685, que naît Martin Arrambide, dans la maison éponyme Arrambide “chemin de ronces” du quartier Bastide au nord de Baïgorry. Il naît dans une maison de laboureur[5], dans une fratrie de 8 frères et sœurs, fils de Joannes Arrambide et de Jeanne Iribarne (née dans la maison Gastainerreca du hameau de Saint-Étienne). À cette époque, le sud de la vallée de Baïgorry, dont Urepel, se fait déjà colonisé depuis près d’un siècle, et à l’âge de 33 ans, en 1718, Martin Arrambide épouse la fille d’une des maisons non-reconnues des Aldudes : Marie d’Ausquiesouhy[6].

Ce nouveau couple marié déménage ensemble à la borde de la maison Arrambide au nord d’Urepel, une longue marche[7], le long de la Nive des Aldudes, depuis le nord de Baïgorry. Cette borde deviendra une véritable maison où Martin Arrambide et Marie Ausquiesouhy fondent une famille de 8 enfants. Ce fut le frère aîné de Martin, Jean Arrambide, qui hérita la maison natale du quartier Bastide, mais la nouvelle maison du couple à Urepel reprendra le même nom Arrambide elle-aussi. Notons qu’il ne s’agit toujours pas de la maison Baztandarraenea !
Parmi leurs 8 enfants, le processus se répète, et cette fois c’est Jean Arrambide, le quatrième né en 1727, qui est contraint à fonder sa propre maison, étant délaissé de l’héritage de sa maison natale. Et c’est cette maison, qui est le sujet de cet article : Arrambidegaray “Arrambide du haut”, qu’il construira en hauteur, sur le chemin de Meharoztegi menant vers Banca et à deux kilomètres de sa maison natale Arrambide d’Urepel.
Origine de la maison Baztandarraenea
En 1814, un acte de naissance nous donne “la maison Arrambidegaraya dit vulgairement Bastandarra”, une preuve que “Bastandarra” fut un nom postérieur et différent du nom “officiel” ou “propre” de Arrambidegaraya. Alors comment est-ce que Arrambidegaray(a) devient Bastandarra ?
C’est parce que notre Jean Arrambide, né en 1727, épousera une certaine “marie de fransesena du lieu d’irurieta dans la vallée du bastan”[8]! À savoir que l’acte de mariage est absent des registres de Baïgorry. Peut-être que ce mariage a eu lieu dans la vallée de Bastan chez l’épouse, ou que l’acte de mariage est perdu ou détruit ? Ce qui est sûr, c’est que Jean Arrambide était très jeune lors du mariage en question, avec son premier enfant né en 1747, un mois seulement après son vingtième anniversaire.
L’histoire de l’épouse, et donc de “la bastanaise” éponyme de la maison, est en revanche plus mystérieuse !
Elle est dotée de plusieurs surnoms dans les registres : à la fois dite “de Bastan”, “Hiruritacoa” (c’est-à-dire “de la ville d’Irurita”), “de Jean” (peut-être une cacographie ou le nom de son père ?), et de “Fransesena”. Ce dernier cognomen nous donne peut-être quelques indices.
La maison “Fransesena” n’est identifiable à aucune maison de sa commune natale d’Irurita, mais, elle est très facilement identifiable à la maison Franxexena au sud du bourg Urepel ! Il est donc très probable que cette “Marie de Bastan” habite d’abord la maison Franxexena avant d’épouser Jean Arrambide. Est-elle venue en tant que travailleuse saisonnière ou domestique ? Ou est-ce que la maison l’accueille en fonction d’auberge ? Ou même, est-elle, par des liens de parentés lointains, venue pour rester auprès de cousins germains ? Comme tant d’histoires inconnues des archives, les réponses à ces questions sont perdues à jamais…
Nous ne connaissons donc pas les détails de la vie des deux fondateurs de Baztandarraenea, mais on peut songer à leur rencontre, un jour de soleil, au centre du bourg d’Urepel[9].
Généalogie de la maison

Regardons alors la généalogie de la maison par génération !
- Jean I Arrambide (1727-????), premier maître d’Arrambidegaray (future maison Baztandarraenea) est marié à Maria Bastan (~1723-????) première maîtresse du futur Baztandarraenea aux alentours de 1746. Les deux gagnent leurs vies comme exploitants agricoles ou “laboureurs” selon les registres, et ont ensemble au moins dix enfants:
- Antoine Arrambide (1747-????)
- Marie I Arrambide (1748-1823) héritière, voir 2.
- Baptiste Arrambide (1749-1831), qui épouse Jeanne Etchepare, héritière de la maison Inharabia des Aldudes
- Bertrand Arrambide (1751-1831) qui épouse Marie Aguerre, héritière de la maison Ithurriberri des Aldudes
- Marie Arrambide (1753-1832), dont l’acte de baptême précise “fille légitime de jean d’arrambide et de marie de bastan s.rs de la borde de joannes arramideinia[10] au quartier de çahargun”. Elle épouse, après avoir eu un enfant “naturel” dans la maison Baztandarraenea (Bertrand, né en 1780), Bernard Inthamoussou, héritier de la maison Manechandia des Aldudes
- Jean Arrambide (1755-????)
- Jean “Joannes” Arrambide (1757-1829) qui épouse Marie Anchagno, héritière de la maison Chocoenia d’Urepel
- Jean Arrambide (1758-????), dans son baptême les parents sont cités comme “m.e et m.esse de Beratch aux aldudes”. Cela implique que les parents ont construit ou procuré d’une manière ou d’une autre la maison voisine de Bératchena[11] “demeure du fragile”. Un des parents fut-il le géniteur de ce nom? Il reste encore des questions!
- Martin Arrambide (1760-1834), cité comme fils de “jean dharrambide et marie dhiruritaco […] sieurs de la maison appellée adarrca[12]”,qui restera cadet, et sans doute plus tard, domestique de la maison Baztandarraenea.
- Gratian Arrambide (1762-????), fils du “legitime mariage de Jean Arrambide et Marie Bastandarra son epouse s.rs de Bastandarra des Aldudes”
Un acte de naissance de 1808 laisse supposer une dernière cadette de Baztandarraenea ici. La comparante est “Marie Arrambide agée de soixante ans d’etat de laboureur maîtresse ancienne de la maison de Bastandarra de cette commune des Aldudes y domiciliée”, c’est-à-dire Marie I (voir ci-dessous); elle présente un enfant né dans la maison de “Marie Arrambide sa sœur et d’un père inconnu”. Nous ne connaissons qu’une autre sœur de Marie I, c’est Marie Arrambide (1753-1832) qui à cette époque était encore mariée à Bernard Inthamoussou. La seule conclusion est qu’il y avait une troisième sœur Marie Arrambide, cadette née après 1762 et restée domestique de la maison Baztandarraenea qui eut un “enfant naturel” en 1808.
- Marie I Harrambide ou Arrambidegarai (1748-1823), maîtresse de Baztandarraenea épouse Jean Beherecoborda Sarry ou Arroquy (1752-1822) fils de la maison Coscorchilo des Aldudes. Ce couple de cultivateurs n’a que quatre enfants de ce que nous savons[13]:
- Pierre I Arrambide ou Arroqui (1772-1837) héritier et co-maître de la maison en 1822, voir 3.
- Antoine Coscorchilo (1780-????)
- Marie Arroquy (1783-????) mère d’une fille naturelle Catherine née en 1811, qui épousera plus tard Jean Habans de la maison Habensenia d’Urepel
- *Marie Arroquy (1785-1865), malgré l’acte de naissance perdu, un acte de décès de 1865 nous laisse supposer l’existence d’une dernière cadette célibataire, qui devint domestique de la maison (citée comme “ménagère”)
- Pierre I Arroqui (1772-1837), maître de Baztandarraenea, épouse Gracianne Copentipi (1768-1861), cadette de la maison Copentipi d’Occos. Même si l’héritier Pierre Arroqui mourra plus jeune dans sa maison natale de Baztandarraenea, la maîtresse adventice tantôt appelée Gratianne Copenttipy vivra une longue vie, décédant au “bâtiment Sainte-Eulalie” de Saint-Jean-Pied-de-Port (anciennement une église détruite) à l’âge d’environ 95 ans. Le laboureur-cultivateur et la couturière auront ensemble au moins sept enfants:
- Dominique I Arroqui (1795-1849) héritier, voir 4.
- Jean Arroqui (1803-1845), qui épouse Catherine Ernaut, héritière de la maison Sanferminena d’Urepel
- Marie Arroqui (1805-1887) qui épouse Pierre Esponda, fils majeur de la maison de “Soalus” d’Urepel.
- Antoine Arroqui (1808-????)
- Jeanne Arroqui (1809-1835), cadette décédée jeune dans la maison[14]
- Jean Arroqui (1811-????)
- Jeanne Arroqui (1814-????), qui épouse Jean Davant, l’instituteur de la commune de Bustince-Iriberry
- Dominique I Arroqui (1795-1849) épouse en 1829 Marie Ernagua (1807-1882) de la maison “Lapharchilo dit Ezkerrarena de hurephel” . Ils ont ensemble au moins 8 enfants, dont deux qui partent, comme beaucoup de basques, aux États-Unis. À cause des lacunes aux archives et la difficulté de trouver les actes du XXe siècle, le sort de beaucoup des enfants nous est inconnu:
- Marie II Arroqui (1830-1910) héritière, voir 5.
- Gratianne Arroquy (1831-????)
- Jean “Juan” Arroqui (1832-1889) qui émigre à Los Angeles, où il épouse Marie Oxarart, fille de la maison Gasteaguerre d’Urepel. Une biographie bien plus détaillée avec des photos est disponible grâce aux recherches de Mitch Gariador
- Marie Arroqui (1835-????)
- Jean “Juan Jr.” Arroquy (1838-1925) qui épouse Catherine Marie Irigoyen de la maison Sansonenia d’Urepel. Ils émigrent ensemble à Los Angeles comme le garçon aîné de Baztandarraenea
- Michel Arroquy (1840-????)
- Pierre Arroquy (1843-????)
- Antoine Arroquy (1846-????)

(Source: Mitch Gariador)
- Marie II Arroqui (1830-1910) épouse en 1855 Baptiste Barcelona (1822-1902) de la maison Zahargun d’Urepel. Les deux cultivateurs ont ensemble 8 enfants (encore une fois la difficulté des archives masque les détails) :
- Marie III Barcelona (1856-????) héritière, voir 6.
- Marie Barcelona (1858-????)
- Michel Barcelona (1860-????)
- Marie Barcelona (1862-????)
- Firmin Barcelona (1865-1901) qui émigre aux États-Unis avant l’âge de 21 ans, et meurt de tuberculose à Los Angeles
- Marin Barcelona (1867-1930) qui émigre aux États-Unis en 1896 où il épouse Marie Martinez, cadette de la maison “Guéçainbéhère” de Lasse
- Jeanne Barcelona (1869-????) cadette qui accouche, dans la maison Baztandarraenea à une fille Marie Arroquy (1889-1893) de père inconnu
- Jean Barcelona (1872-????)
Les familles Arroqui de Baztandarraenea et Barcelona de Zahargun étaient peut-être déjà proches avant leur union. Un certain Jean Barcelona est décédé dans la “Borde de Bastandarra” en 1830 à l’âge de un an. Même si l’acte de naissance est perdu, nous pensons qu’il est le fils du couple Martin Barcelona et Marie Çahargun(béhère) qui vivaient dans le quartier et auraient facilement pu visiter leurs voisins dans la maison Baztandarraenea.
- Marie III Barcelona (1856-????) épouse en 1884 Juan Etchepareborda (1849-????) né à Luzaide-Valcarlos. Les époux, ménagère et laboureur respectivement, ont 4 enfants que nous citons ici. Pour respecter la vie privée des propriétaires actuels nous ne traçons pas plus loin la descendance, mais c’est encore la famille Etchepare qui tient cette maison.
- Marie Etchepareborda (1888-???)
- Baptiste Etchepareborda (1890-????)
- Marie Etchepare (1893-1979) héritière décédée dans la maison
- Jeanne Etchepareborda (1896-1898) décédée jeune dans la maison

Ainsi, cette maison Baztandarraenea, qui doit son nom à une bastanaise particulière du XVIIIe siècle, porte toutes les caractéristiques des maisons d’Urepel de l’époque. C’est une maison fondée par les descendants de cadets de Baïgorry, siège de génération après génération de laboureurs nés dans de grandes fratries dans la commune la plus isolée de la vallée de Baïgorry. Plus tard, certains enfants de Baztandarraenea partiront aux États Unis comme beaucoup de Basques d’Urepel au XXe siècle. Presque trois cents ans après sa fondation, la maison Baztandarraenea, souvent appelée tout simplement “Baxtandarra”, reste encore à Urepel, adossée à la frontière montagneuse de Banca.

Cet article n’aurait pas été possible sans les recherches et arbres généalogiques extrêmement détaillées de Mitch Gariador (un contributeur prolifique à Gen&O) sur la vallée de Baïgorry; son travail est disponible sur son site-web www.bridge2pyrenees.org.
Notons aussi que le groupe “Nuestras Familias” (incontournable dans les recherches généalogiques au Pays Basque) ont tracé une partie de la généalogie de cette maison sur leur site gw.geneanet.org/mabasoloetchemendiga.
Nous avons tenté, dans cet article, de synthétiser, compléter, et corriger leurs deux arbres généalogiques avec nos propres recherches.
Auteur : Jean-Max Fawzi, le 13 November, 2025.
Bibliographie
Plusieurs citations de documents sont extraites des registres paroissiaux et d’état civil conservées aux archives départementales. Les trois grandes sources sont les suivantes :
- Les registres paroissiaux et d’état civil de Baïgorry (1692-1889), entièrement indexés sur le site Gen&O.
- Les registres paroissiaux et d’état civil des Aldudes (1772-1872), entièrement indexés sur le site Gen&O.
- L’état civil d’Urepel (1862-1890), entièrement indexés sur le site Gen&O.
Cet article réfère à plusieurs maisons qui figurent sur le Cadastre Napoléonien d’Urepel (1839-1840), qui sont indexées sur Gen&O également. C’est en réalité une section du Cadastre Napoléonien des Aldudes.
Nous citons aussi:
Euskaltzaindia (Académie de la langue basque), Euskal Onomastikaren Datutegia – EODA – Lekuak, Baztandarraenea, disponible sur www.euskaltzaindia.eus
Orpustan, Jean-Baptiste, 2006 (rev. 2010). Nouvelle toponymie basque, disponible sur le site www.tipirena.net
Rozier, Hadrien, 2022. Les ensembles pastoraux de la commune d’Urepel, disponible sur le site www.patrimoine-nouvelle-aquitaine.fr
Notes
[1] L’explication linguistique de cette forme orale est la suivante. Le premier changement phonétique dont on s’aperçoit, c’est la “fricative palatale” dans baxtan- représenté par le -x- équivalent du -ch- français. Ce changement -z- > -x- s’appelle la palatalisation, phonétisme très fréquent dans le basque parlé qui se produit soit par affectivité (baxtandar étant équivalent de “petit bastanais”) soit tout simplement par l’usage à l’oral. C’est un processus qui a agi très rapidement, déjà dans un acte de baptême de 1780, Marie Arrambide est citée comme “cadette de la maison de Bachtandarra” avec palatale -ch-. Ensuite, il y a l’affaiblissement de la vibrante forte -rr- en vibrante simple -r- qui est surtout présent dans le basque souletin, mais existe par l’usage dans le dialecte de la vallée de Baïgorry parfois aussi. Finalement le suffixe génitif -(r)enea ici se contracte très tôt à Bastandarrainia (déjà dans un autre baptême de 1780) même si la palatalisation -ñ- en Baxtandarañia est plus tardive.
[2] Voir plus loin Rozier (2022) | Présentation de la commune d’Urepel
[3] Ibid.
[4] Orpustan (2006) | Nouvelle toponymie basque, p. 94
[5] En basque aujourd’hui, on désigne encore les maisons de cultivateurs comme laborari etxeak.
[6] Le nom signifie “chênaie d’Ausquie”, Ausquie correspondant à une maison médiévale du hameau d’Occos de Baïgorry.
[7] Aujourd’hui avec les routes pavés, cette marche se fait en moins de 6 heures!
[8] Information donné par l’acte de baptême de 1747 de leur premier né Antoine Arrambide
[9] Les deux maisons, Arrambide et Franxexena, sont en effet équidistantes du bourg d’Urepel
[10] On nous donne ici un autre nom de la maison Baztandarraenea: le nom de joannes arramideinia < *Joannes Arrambide-enea c’est-à-dire “demeure de Jean Arrambide”
[11] Ainsi citée au Cadastre Napoléonien de 1840
[12] Qui est aussi le nom d’une montagne de 1 250 m qui sépare les communes de Banca, Anhaux, et Lasse
[13] Mitch Gariador soulève un acte notarié qui cite que Marie Arrambidegarai était marié en 1796 à un certain Jean “Manech” Ithurralde; nous n’avons pas pu retrouver l’acte de mariage pour le confirmer.
[14] L’acte de naissance la dit née de Jean Arroqui et Marie Arrambide; si c’est bien le cas, ça veut dire que les deux parents avaient 63 et 58 ans, très improbable. Nous avons considéré cela comme une erreur.